Bonjour et Bienvenue.
Je ne suis pas critique professionnelle - et ne me revendique absolument pas comme telle -, je vous livre simplement mes impressions de lecture. Mes avis n'ont pas valeur de vérité absolue mais reflètent simplement un sentiment éprouvé à la lecture, à un moment -T de ma vie (sentiment qui peut donc varier du tout au tout si une relecture est faite quelques années plus tard).
Les premières "chroniques" (en fait, celles faites sur Skyrock, de Juin 2006 à Juin 2009, quasiment), sont ridicules. Malheureusement, je ne peux pas les reprendre aujourd'hui, ces lectures sont trop éloignées, je ne peux plus en parler correctement. Cependant, depuis Juin 2009, je tente de faire des "avis" plus construits, plus longs, et plus intéressants (enfin, j'espère !). Soyez indulgents ; je fais de mon mieux pour améliorer ce blog, au fil des mois...
J'espère que ce petit coin de lecture vous donnera envie de plonger la tête la première dans un livre, et de me donner vos ressentis et opinions. Alors surtout, n'hésitez pas à commenter, à critiquer,... en bref : à bavarder !
Les premières "chroniques" (en fait, celles faites sur Skyrock, de Juin 2006 à Juin 2009, quasiment), sont ridicules. Malheureusement, je ne peux pas les reprendre aujourd'hui, ces lectures sont trop éloignées, je ne peux plus en parler correctement. Cependant, depuis Juin 2009, je tente de faire des "avis" plus construits, plus longs, et plus intéressants (enfin, j'espère !). Soyez indulgents ; je fais de mon mieux pour améliorer ce blog, au fil des mois...
J'espère que ce petit coin de lecture vous donnera envie de plonger la tête la première dans un livre, et de me donner vos ressentis et opinions. Alors surtout, n'hésitez pas à commenter, à critiquer,... en bref : à bavarder !
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EDIT 27/01/13 : je me suis rendue compte il y a quelques semaines, que je n'avais jamais pris le temps de présenter les lieux (et moi-même) correctement. Après presque 7 ans de bons et loyaux services, il est plus que temps d'y penser...
epuis plus de dix ans maintenant, mon pseudo sur la toile (et dans la vie, puisque la plupart de mes ami-es l’utilisent également) est Meli, diminutif de Melisende. Ces neuf lettres m’ont sauté aux yeux lorsque je les ai découvertes dans Les Dames à la licorne de René Barjavel et Olenka de Veer (époque bénie de ma première lecture de cette œuvre, aujourd’hui une de mes préférées). Les auteurs ne citent le personnage qu’une seule fois et pas forcément positivement puisqu’ils désignent la reine de Jérusalem, a priori méchante fée peu fréquentable. Peu importe, le coup de foudre ; ce nom était fait pour moi.
ujourd’hui, dimanche 27 janvier 2013, j’ai 25 ans et presque trois mois. Je vis à Lyon depuis… huit ans (déjà !) ! J’ai quitté mon petit village auvergnat à la sortie de la terminale (S !) pour commencer de longues études dans la capitale des Gaules…
Je suis entrée à la fac en ayant choisi mes deux matières obligatoires : histoire de l’art et anthropologie. Si j’ai validé les deux, la seconde ne m’enthousiasmait pas des masses. Ne souhaitant pas continuer uniquement en histoire de l’art (niveau débouchés, c’est pas mal limité…), j’ai donc décidé, après bien des angoisses, de refaire une première année, de lettres modernes cette fois. Pourquoi des angoisses ? Parce qu’avec un bac S en poche, j’avais très peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas avoir le niveau. C’est l’été précédant mon entrée dans cette nouvelle filière que je me suis lancée dans l’aventure bloguesque. Je voulais commencer à me questionner sur mes lectures, à aller un peu plus loin, à développer un esprit un peu critique…
Ma première année de lettres modernes en poche, j’ai continué sur ma lancée (deuxième et troisième année de licence)… tout en suivant également les deuxième et troisième années de licence d’histoire de l’art. Après deux années en double cursus, à courir d’un campus à l’autre, à jongler entre les dissertations et exposés… j’ai obtenu les beaux diplômes (qui ne servent pas à grand-chose…). Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Master de lettres modernes ? Master d’histoire de l’art ? Les deux ?! J’ai joué la « facilité », croyant que le master d’histoire de l’art serait plus accessible que celui de lettres… erreur ! Malgré tout, après des heures (des mois !) de souffrance, de stress, de larmes… j’ai accouché d’un beau bébé de plus de 300 pages (dont une centaine de texte pur) qui a pour magnifique titre : La Représentation de la Nuit au Moyen Age, dans les manuscrits du Xe au XVIe siècle. Ouille. Et j’ai reçu le beau papier (que je ne suis toujours pas allée retirer au secrétariat d’ailleurs… après un an et demi, il faudrait peut-être y penser !).
ais aujourd’hui, que fais-je de mes journées ? Après deux ans dans un lycée (comme assistante pédagogique de français), je travaille cette année, dans un groupe scolaire de Lyon et suis chargée « d’animer » les BCD (bibliothèques) pendant les temps scolaires et périscolaires. J’accueille des groupes d’élèves, de la petite section au CM2. Lectures offertes ou activités plus complexes (avec une classe de CM2, on travaille sur les contes étiologiques… les élèves sont en train d’en rédiger quelques-uns, je suis toujours impressionnée par leur imaginaire…) ; j’essaye de rendre les lieux accueillants et agréables. Mon contrat se termine mi-juillet, je ne sais pas encore ce que je ferai ensuite (je sais juste que mon mois d’août est réservé à un nouveau voyage irlandais !). Je rêve bien évidemment d’ouvrir une librairie-salon de thé (j’ai des projets et des idées plein la tête), mais je suis encore jeune et il me reste beaucoup à apprendre avant d’en arriver là ! Message subliminal aux librairies, maisons d’édition, bibliothèques… je suis disponible à partir de septembre 2013, si vous avez un petit job à me proposer ! ;)
ujourd’hui, dimanche 27 janvier 2013, j’ai 25 ans et presque trois mois. Je vis à Lyon depuis… huit ans (déjà !) ! J’ai quitté mon petit village auvergnat à la sortie de la terminale (S !) pour commencer de longues études dans la capitale des Gaules…
Je suis entrée à la fac en ayant choisi mes deux matières obligatoires : histoire de l’art et anthropologie. Si j’ai validé les deux, la seconde ne m’enthousiasmait pas des masses. Ne souhaitant pas continuer uniquement en histoire de l’art (niveau débouchés, c’est pas mal limité…), j’ai donc décidé, après bien des angoisses, de refaire une première année, de lettres modernes cette fois. Pourquoi des angoisses ? Parce qu’avec un bac S en poche, j’avais très peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas avoir le niveau. C’est l’été précédant mon entrée dans cette nouvelle filière que je me suis lancée dans l’aventure bloguesque. Je voulais commencer à me questionner sur mes lectures, à aller un peu plus loin, à développer un esprit un peu critique…
Ma première année de lettres modernes en poche, j’ai continué sur ma lancée (deuxième et troisième année de licence)… tout en suivant également les deuxième et troisième années de licence d’histoire de l’art. Après deux années en double cursus, à courir d’un campus à l’autre, à jongler entre les dissertations et exposés… j’ai obtenu les beaux diplômes (qui ne servent pas à grand-chose…). Pourquoi s’arrêter en si bon chemin ? Master de lettres modernes ? Master d’histoire de l’art ? Les deux ?! J’ai joué la « facilité », croyant que le master d’histoire de l’art serait plus accessible que celui de lettres… erreur ! Malgré tout, après des heures (des mois !) de souffrance, de stress, de larmes… j’ai accouché d’un beau bébé de plus de 300 pages (dont une centaine de texte pur) qui a pour magnifique titre : La Représentation de la Nuit au Moyen Age, dans les manuscrits du Xe au XVIe siècle. Ouille. Et j’ai reçu le beau papier (que je ne suis toujours pas allée retirer au secrétariat d’ailleurs… après un an et demi, il faudrait peut-être y penser !).
ais aujourd’hui, que fais-je de mes journées ? Après deux ans dans un lycée (comme assistante pédagogique de français), je travaille cette année, dans un groupe scolaire de Lyon et suis chargée « d’animer » les BCD (bibliothèques) pendant les temps scolaires et périscolaires. J’accueille des groupes d’élèves, de la petite section au CM2. Lectures offertes ou activités plus complexes (avec une classe de CM2, on travaille sur les contes étiologiques… les élèves sont en train d’en rédiger quelques-uns, je suis toujours impressionnée par leur imaginaire…) ; j’essaye de rendre les lieux accueillants et agréables. Mon contrat se termine mi-juillet, je ne sais pas encore ce que je ferai ensuite (je sais juste que mon mois d’août est réservé à un nouveau voyage irlandais !). Je rêve bien évidemment d’ouvrir une librairie-salon de thé (j’ai des projets et des idées plein la tête), mais je suis encore jeune et il me reste beaucoup à apprendre avant d’en arriver là ! Message subliminal aux librairies, maisons d’édition, bibliothèques… je suis disponible à partir de septembre 2013, si vous avez un petit job à me proposer ! ;)
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e vous le disais un peu plus haut, j’ai ouvert ce blog quelques mois avant mon entrée en première année de lettres, tout simplement pour tenter de réfléchir à mes lectures. Aujourd’hui, bientôt 7 ans (le 4 juin 2013) après le premier article, le blog a beaucoup évolué, dans la forme et dans le fond. D’un simple « j’ai aimé / je n’ai pas aimé », je suis passée à des chroniques plus longues, plus développées et j’espère plus intéressantes. Les anciens articles n’ont pas encore été retravaillés pour obtenir la même forme que les plus récents… c’est en cours (depuis des mois !) et un jour j’arriverai au bout.
Je suis une lectrice assez éclectique mais je pense, au vu du nombre de livres chroniqués dans chaque catégorie (cf le menu de gauche), que je peux dire sans trop me tromper, que j’ai une préférence pour la littérature de l’imaginaire avec, au fil des années, une curiosité de plus en plus grande pour la science-fiction. Mais je lis aussi avec grand plaisir, des policiers/thrillers, des romans historiques (la grande passion de mon adolescence), de la littérature classique (il faudrait que je m’y remette, je l’ai un peu trop délaissée ces dernières années), des romans jeunesse (et même les albums depuis le début de l’année), des mangas (de plus en plus !) et des bd (dans une moindre mesure, mais c’est surtout une histoire de budget)… En revanche, j’ai du mal avec la poésie (que j’adorais pourtant pendant mon adolescence) qui ne me procure que peu d’émotions, j’ai fait une overdose de théâtre (à cause de la licence de lettres) et je suis toujours sceptique lorsque je commence un roman contemporain (j’en lis pas mal, mais rares sont ceux qui me font vibrer). Je suis de nature curieuse, très attirée part toutes les formes d’art et je pense que cela se ressent dans mes choix de lectures.
Je suis une acheteuse compulsive. Grande fan des vide-greniers, librairies d’occasion et salons littéraires, je dépense « rarement » mais beaucoup à la fois ! Ma devise : un livre, ce n’est jamais perdu ! Donc j’achète. Plus que je ne peux lire, mais peu importe !
lodie m’a demandé de présenter mes cinq coups de cœur littéraires et mes cinq auteurs préférés. Certains noms sont évidents à mes yeux mais le choix est difficile. Et surtout, il varie au fil des années. Avec une moyenne de 100/120 livres lus par an, le podium a tendance à bouger, sans compter qu’avec l’âge, mes goûts et exigences évoluent.
Cependant, je pense que je peux citer deux auteurs qui resteront à jamais dans mon top : René Barjavel et Jane Austen. Le premier, c’est une grande histoire d’amour inexplicable. Je me reconnais parfaitement dans les textes et la vision de l’auteur et j’aurais adoré échanger avec lui. Barjavel c’est un peu mon âme sœur littéraire. La deuxième rassemble toutes les choses qui me plaisent et me correspondent (la société anglaise régente), m’a offert les plus beaux portraits de personnages que j’ai pu lire (Miss Elizabeth Bennet et Mister Darcy, notamment) et a ouvert tout un monde littéraire/cinématographique/esthétique que je ne connaissais pas et que je ne me lasse pas de découvrir (ah la littérature para-austenienne, les nombreuses adaptations et les reconstitutions à Bath…). J’ai bien envie de citer J. K. Rowling qui elle aussi, m’a offert un univers riche et inoubliable (les livres, les films, les fanfictions…)… et je m’arrêterai là, car bien d’autres auteurs m’ont permis de rêver au fil des années, mais aucun autre ne sort particulièrement du lot (le choix est trop difficile).
Je ne serai donc pas très originale dans le choix des cinq œuvres à mettre en avant. Cinq livres à amener sur une île déserte, c’est-à-dire cinq livres que je ne me lasserai jamais de lire et relire. Encore une fois, difficile de répondre et je me rends compte que finalement, rares sont les livres que je pourrais lire et relire sans jamais me lasser, en y trouvant toujours une émotion. Font donc partie du top, sans grande surprise : Les Dames à la licorne de René Barjavel et Olenka de Veer, Orgueil et préjugés de Jane Austen et l’intégrale de Harry Potter de J. K. Rowling. Bien d’autres livres ont su m’émouvoir et m’ont marquée ces dernières années, mais ai-je envie de les lire et les relire indéfiniment ? Je ne crois pas. En tout cas, aucun autre titre ne me vient comme ça, spontanément.
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utre la lecture (et par extension, bloguer), j’ai d’autres passions/activités dans la vie. La musique est l’une d’elle. Je ne suis pas musicienne (mais projette cette année, de me lancer dans l’apprentissage du tin whistle) mais écoute quotidiennement de la musique. Quand je suis chez moi, si un film ou une série ne défile pas sur l’écran de ma télé, la musique est allumée. Pour lire, pour rédiger, pour cuisiner, pour faire le ménage, pour me laver les cheveux… de la musique. Et dans la rue, quand je prends seule les transports en commun, le matin pour aller travailler, le soir pour rentrer, lorsque je fais les courses, lorsque je me ballade ; de la musique dans mes écouteurs. C’est vital. Là aussi je suis assez éclectique, même si j’ai plutôt tendance à me tourner vers le hard rock plutôt que vers le r’n’b (à vrai dire je n’écoute pas du tout de r’n’b). Cela dit, en ce moment et depuis plusieurs mois, je suis plutôt friande de musique folk et traditionnelle (avec une grosse préférence pour tout ce qui pourrait se classer dans la veine « celtique », of course).
C’est donc tout naturellement que, dès ma plus tendre enfance, j’ai pris des cours de danse. Après dix ans à transpirer dans des cours de moderne, j’ai tout stoppé. Pendant les dix années qui ont suivi (ou presque), je me suis demandée pourquoi j’avais pris cette stupide décision. Et voilà que cette année, motivée et bien décidée à vivre mes rêves, je me suis lancée dans la danse irlandaise. Nouvelle grande passion qui prend de plus en plus de place dans ma vie (et sur ce blog). C’est difficile, c’est épuisant, c’est souvent dénigré… mais quel bonheur !
Pourquoi la danse irlandaise ? Et pourquoi la musique « celtique » en générale ? Parce que l’Irlande c’est mon grand rêve. Depuis le début de l’adolescence, depuis que mon père m’a appris que s’il avait choisi le prénom qu’il m’a donné (Maureen) c’est parce qu’il a trouvé des ancêtres irlandais dans notre arbre généalogique, je suis attirée par l’île d’émeraude. L’Irlande correspond à tout ce que j’aime et à tout ce à quoi j’aspire. Le climat, le paysage, la musique, la mythologie, le caractère… je danse irlandais, je chante irlandais, je pense irlandais, je mange irlandais, je vois la vie en vert et je vis même avec le drapeau accroché au dessus de mon lit ! Bref, si un jour je déménage, ne vous étonnez pas, c’est pour aller m’installer à Dublin.
C’est donc tout naturellement que, dès ma plus tendre enfance, j’ai pris des cours de danse. Après dix ans à transpirer dans des cours de moderne, j’ai tout stoppé. Pendant les dix années qui ont suivi (ou presque), je me suis demandée pourquoi j’avais pris cette stupide décision. Et voilà que cette année, motivée et bien décidée à vivre mes rêves, je me suis lancée dans la danse irlandaise. Nouvelle grande passion qui prend de plus en plus de place dans ma vie (et sur ce blog). C’est difficile, c’est épuisant, c’est souvent dénigré… mais quel bonheur !
Pourquoi la danse irlandaise ? Et pourquoi la musique « celtique » en générale ? Parce que l’Irlande c’est mon grand rêve. Depuis le début de l’adolescence, depuis que mon père m’a appris que s’il avait choisi le prénom qu’il m’a donné (Maureen) c’est parce qu’il a trouvé des ancêtres irlandais dans notre arbre généalogique, je suis attirée par l’île d’émeraude. L’Irlande correspond à tout ce que j’aime et à tout ce à quoi j’aspire. Le climat, le paysage, la musique, la mythologie, le caractère… je danse irlandais, je chante irlandais, je pense irlandais, je mange irlandais, je vois la vie en vert et je vis même avec le drapeau accroché au dessus de mon lit ! Bref, si un jour je déménage, ne vous étonnez pas, c’est pour aller m’installer à Dublin.
Voilà quelques longs paragraphes. L’exercice est difficile et je suis sûre
que j’ai oublié beaucoup de choses. Si vous avez des questions particulières,
n’hésitez pas, j’essayerai d’y répondre au plus vite et au mieux !
que j’ai oublié beaucoup de choses. Si vous avez des questions particulières,
n’hésitez pas, j’essayerai d’y répondre au plus vite et au mieux !
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