Eléctrico W
de Hervé LE TELLIER
(Rentrée Littéraire -
Libfly/Furet du Nord)
JC Lattès,
2011, p. 286
Première Publication : 2011
Pour l'acheter : Electrico W
Merci à
et au
Auteur de romans, nouvelles, poésies, théâtre, Hervé Le Tellier (né le 21 avril 1957) est aussi l'auteur de formes très courtes, souvent humoristiques.
incent accueille un de ses collègues journalistes parisiens - Antonio - à Lisbonne afin de suivre le procès d’un tueur en série présumé.. Antonio lui raconte son passé au Portugal - son pays d’origine - et ce qu’il a vécu alors qu’il n’était qu’un jeune garçon. C’est dans cette ville qu’il a fait la rencontre de celle que tout le monde surnommait Canard. Mais alors que leur histoire d’amour battait son plein, ils ont été séparés, à jamais…
Vincent décide alors, touché par le récit de ce grand amour - et pour une autre raison moins avouable - de réunir les deux amoureux. Sans qu’Antonio s’en aperçoive, il part à la recherche de Canard…
Vincent décide alors, touché par le récit de ce grand amour - et pour une autre raison moins avouable - de réunir les deux amoureux. Sans qu’Antonio s’en aperçoive, il part à la recherche de Canard…
Qu’il est difficile de se lancer dans la rédaction de ce billet… mais si je ne le fais pas maintenant, je ne le ferai jamais ! Je m’excuse d’avance pour la brièveté de cet avis (car il sera court, sans aucun doute) et pour son côté assez « général » (dû à mon manque de souvenirs… satanée mémoire de poisson rouge !).
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’ai reçu Eléctrico W en juin dernier, afin de le lire et le chroniquer pour la rentrée littéraire organisée par Libfly et le Furet du Nord. Quatrième et dernier titre reçu, j’ai fait mon possible pour le lire et le chroniquer le plus rapidement (même si ce n’était pas une « obligation » car il ne faisait pas partie du « contrat » de départ), mais les contraintes de mon emploi du temps m’en ont empêchée. Je l’ai pourtant lu assez rapidement (fin juin il me semble), mais je n’ai pas pu en parler directement, puis j’ai laissé traîner… et aujourd’hui, plus de deux mois après ma lecture, je n’ai plus beaucoup de souvenirs mais je m’en veux de ne rien avoir rédigé, alors je me motive !
Même si les souvenirs sont rares, je me rappelle avoir apprécié ce titre. Je suis sortie de ma lecture assez mélancolique mais agréablement surprise par l’histoire et la plume offertes par Hervé le Tellier, auteur qui m’était complètement inconnu jusque là !
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J’ai été surprise de découvrir qu’alors que c’était Vincent le narrateur, on en apprend finalement plus sur l’histoire d’Antonio (ou alors la vie de ce personnage m’a plus intéressée et donc marquée) ; même si, on le comprend vite, cette histoire de grand amour le renvoie à sa propre vie, à sa propre histoire d’amour… Car Vincent a vécu quelque chose de très particulier avec une femme, et cette femme est également liée à Antonio. Leur destin s’entremêlent sans cesse…
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Il s’agit plus d’un journal que d’un roman, le narrateur revenant sur neuf jours de sa vie. Chaque jour correspond à un chapitre baptisé du nom d’un des personnages ; les quelques pages se consacrent alors à la figure qui leur a donné leur titre. J’ai aimé cette narration à la première personne, très sincère, parfois drôle, souvent touchante. Un livre qui se lit très vite et qui m’a donné envie de tenter un autre titre d’Hervé le Tellier, si j’en ai un jour l’occasion.
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Je n’ai plus beaucoup de souvenirs de cette lecture, mais je garde une impression très mélancolique. L’histoire ne se termine pas « bien », ce n’est pas forcément bon pour le moral, mais j’ai trouvé ce roman très « vrai ». Ces personnages ont vu leur destin glissé entre leurs doigts, n’ont pas su saisir leur chance lorsqu’elle se présentait… J’imagine que la « vraie » vie ressemble à ça, plutôt qu’à un des contes de fées que je lis habituellement…
Les Petits [ + ] : Une histoire très « vraie », très « sincère ». Les personnages ont su me toucher par leur fragilité, par leur destin manqué… Un récit à la première personne qui se lit bien : parfois de l’humour, beaucoup d’authenticité.
Les Petits [ - ] : Beaucoup de mélancolie avec cette lecture, ce n’est pas très bon pour le moral !
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’ai reçu Eléctrico W en juin dernier, afin de le lire et le chroniquer pour la rentrée littéraire organisée par Libfly et le Furet du Nord. Quatrième et dernier titre reçu, j’ai fait mon possible pour le lire et le chroniquer le plus rapidement (même si ce n’était pas une « obligation » car il ne faisait pas partie du « contrat » de départ), mais les contraintes de mon emploi du temps m’en ont empêchée. Je l’ai pourtant lu assez rapidement (fin juin il me semble), mais je n’ai pas pu en parler directement, puis j’ai laissé traîner… et aujourd’hui, plus de deux mois après ma lecture, je n’ai plus beaucoup de souvenirs mais je m’en veux de ne rien avoir rédigé, alors je me motive !
Même si les souvenirs sont rares, je me rappelle avoir apprécié ce titre. Je suis sortie de ma lecture assez mélancolique mais agréablement surprise par l’histoire et la plume offertes par Hervé le Tellier, auteur qui m’était complètement inconnu jusque là !
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J’ai été surprise de découvrir qu’alors que c’était Vincent le narrateur, on en apprend finalement plus sur l’histoire d’Antonio (ou alors la vie de ce personnage m’a plus intéressée et donc marquée) ; même si, on le comprend vite, cette histoire de grand amour le renvoie à sa propre vie, à sa propre histoire d’amour… Car Vincent a vécu quelque chose de très particulier avec une femme, et cette femme est également liée à Antonio. Leur destin s’entremêlent sans cesse…
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Il s’agit plus d’un journal que d’un roman, le narrateur revenant sur neuf jours de sa vie. Chaque jour correspond à un chapitre baptisé du nom d’un des personnages ; les quelques pages se consacrent alors à la figure qui leur a donné leur titre. J’ai aimé cette narration à la première personne, très sincère, parfois drôle, souvent touchante. Un livre qui se lit très vite et qui m’a donné envie de tenter un autre titre d’Hervé le Tellier, si j’en ai un jour l’occasion.
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Je n’ai plus beaucoup de souvenirs de cette lecture, mais je garde une impression très mélancolique. L’histoire ne se termine pas « bien », ce n’est pas forcément bon pour le moral, mais j’ai trouvé ce roman très « vrai ». Ces personnages ont vu leur destin glissé entre leurs doigts, n’ont pas su saisir leur chance lorsqu’elle se présentait… J’imagine que la « vraie » vie ressemble à ça, plutôt qu’à un des contes de fées que je lis habituellement…
Les Petits [ + ] : Une histoire très « vraie », très « sincère ». Les personnages ont su me toucher par leur fragilité, par leur destin manqué… Un récit à la première personne qui se lit bien : parfois de l’humour, beaucoup d’authenticité.
Les Petits [ - ] : Beaucoup de mélancolie avec cette lecture, ce n’est pas très bon pour le moral !