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La Vestale d'Epona
de P.C. CAST
Editions Harlequin, Luna,
2009, p.487
Première Publication : 2007
La Vestale d'Epona
de P.C. CAST
Editions Harlequin, Luna,
2009, p.487
Première Publication : 2007
Les Autres Livres de P.C. CAST :
Depuis l'enfance, Morrigan entend des voix. Amicales ou hostiles, elles la perturbent et l'intriguent, car la jeune fille, élevée dans un ranch de l'Oklahoma, ignore tout de ses origines sacrées et du destin tragique de sa mère, la prêtresse déchue. Mais un jour, dans une grotte d'albâtre où elle s'est rendue, poussée par une force inconnue, un éboulement la projette contre une paroi et la transporte dans un univers étrange : Partholon. Accueillie par des êtres bienveillants qui voient en elle leur grande prêtresse et la désignent comme la vestale "porteuse de lumière", Morrigan comprend que ce royaume est celui de Rhiannon, sa mère, et d'Epona, la déesse, dont elle reconnaît à présent les voix tendres et rassurantes. Pourtant, malgré son bonheur d'avoir trouvé sa place dans ce monde qu'elle sait être le sien, malgré son amour tout neuf pour Kegan, le grand chaman, Morrigan ne parvient pas à se sentir en paix. Car une autre voix s'élève toujours en elle, inconnue celle-là. Insistante, enjôleuse, elle tente à chaque instant de la pousser à la colère et au sacrilège ; comme si quelque esprit malfaisant l'habitait et tentait de faire d'elle "sa chose", l'instrument destructeur de sa vengeance contre Partholon...
Avis personnel :
Cinquième et dernier tome - concernant Partholon - sorti dans la collection Luna, je me suis enfin décidée à l'ouvrir. Certes, la couverture est belle, comme pratiquement toutes celles de la collection, mais le titre me chagrinait. Et me chagrine toujours d'ailleurs. Ouvrir un livre quand on sait qu'il y a une faute dans le titre, ça s'annonce plutôt mal. En tout cas, moi, ça m'horripile. Que je vous explique. Epona est une déesse liée aux chevaux, dans les religions païennes ; jusque là, tout va bien. Mais, c'est avec "Vestale" que ça se complique. C'est sûr, le mot est sacrément joli et fait vachement intelligent ; mais n'a rien à faire là. Les vestales, dans l'antiquité, étaient des prêtresses destinées à garder le feu sacré, le foyer de la cité, car elles étaient "sous les ordres" de la déesse Vesta (ou Hestia, chez les Grecs), déesse du foyer, d'où leur nom "Vestales". Comment une vestale peut-être "d'Epona" alors que dans la nature même du mot, on retrouve bien la déesse Vesta ? Le titre original est Divine by blood, donc l'erreur vient de la traduction (par Yohan Lemonnier-Mehen)...
Bref. Lorsque je commence une lecture légèrement agacée, c'est en général assez mauvais pour la suite des évènements. Et effectivement, ça l'est, mauvais. Le tome précédent m'avait déjà franchement déçue, mais là, c'est pire que tout. Certes, il s'agit d'une collection appartenant aux éditions Harlequin, donc on se doute bien que ça ne vole pas très haut ; mais bon, les deux ou trois premiers volumes m'avait enchantée, alors j'espérais que peut-être... Il faut que j'arrête avec l'espoir, je me fais du mal inutilement. P.C. Cast aurait dû arrêter après L'Elue d'Epona, mais il faut croire que quand un auteur a un filon, il l'épuise jusqu'au bout. Trop, c'est trop.
'
Je le concède, ça se lit toujours très vite et c'est relativement distrayant (quoique...). Au cinquième tome, l'histoire devient franchement lassante. Ok, on change de génération et donc de prénoms (d'ailleurs Morrigan, si c'est pas cliché ça, après Rhiannon...), mais l'histoire est la même, les évènements sont similaires et on voit la fin arriver grosse comme une maison...
En ce qui concerne la plume, ce n'est pas tellement mieux (sans parler des nombreuses fautes de frappe, ça aussi ça m'horripile...). Ben oui, P.C. Cast ne se renouvelle pas. On retrouve les mêmes traits d'humour que dans les ouvrages précédents. La première fois, c'est marrant, mais la deuxième ou la troisième fois, ça devient franchement agaçant. Pour couronner le tout, j'ai eu envie de baffer l'héroïne tout le long. Aurais-je eu un meilleur sentiment général si le titre ne m'avait pas titillé du départ et si les fautes s'étaient faites plus rares ? Non. Faute dans le titre ou non, fautes de frappe ou non, le livre reste très moyen et très décevant. Seule la facilité de lecture est à mettre en avant.
Bref. Lorsque je commence une lecture légèrement agacée, c'est en général assez mauvais pour la suite des évènements. Et effectivement, ça l'est, mauvais. Le tome précédent m'avait déjà franchement déçue, mais là, c'est pire que tout. Certes, il s'agit d'une collection appartenant aux éditions Harlequin, donc on se doute bien que ça ne vole pas très haut ; mais bon, les deux ou trois premiers volumes m'avait enchantée, alors j'espérais que peut-être... Il faut que j'arrête avec l'espoir, je me fais du mal inutilement. P.C. Cast aurait dû arrêter après L'Elue d'Epona, mais il faut croire que quand un auteur a un filon, il l'épuise jusqu'au bout. Trop, c'est trop.
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Je le concède, ça se lit toujours très vite et c'est relativement distrayant (quoique...). Au cinquième tome, l'histoire devient franchement lassante. Ok, on change de génération et donc de prénoms (d'ailleurs Morrigan, si c'est pas cliché ça, après Rhiannon...), mais l'histoire est la même, les évènements sont similaires et on voit la fin arriver grosse comme une maison...
En ce qui concerne la plume, ce n'est pas tellement mieux (sans parler des nombreuses fautes de frappe, ça aussi ça m'horripile...). Ben oui, P.C. Cast ne se renouvelle pas. On retrouve les mêmes traits d'humour que dans les ouvrages précédents. La première fois, c'est marrant, mais la deuxième ou la troisième fois, ça devient franchement agaçant. Pour couronner le tout, j'ai eu envie de baffer l'héroïne tout le long. Aurais-je eu un meilleur sentiment général si le titre ne m'avait pas titillé du départ et si les fautes s'étaient faites plus rares ? Non. Faute dans le titre ou non, fautes de frappe ou non, le livre reste très moyen et très décevant. Seule la facilité de lecture est à mettre en avant.
Les Petits [ + ] : Se lit vite et facilement.
Les Petits [ - ] : Trop similaire au tome précédent, seuls les prénoms changent. Trop c'est trop, l'auteur devrait arrêter de tirer sur le filon.
Les Petits [ - ] : Trop similaire au tome précédent, seuls les prénoms changent. Trop c'est trop, l'auteur devrait arrêter de tirer sur le filon.