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" Alias Reveanne "
- Anne Denier est connue en tant que membre - sous le pseudonyme Reveanne - de divers forums (Livraddict pour ne citer que lui) mais surtout en tant qu’auteure.
- La jeune femme écrit depuis des années, a des dizaines de romans et nouvelles dans son ordinateur et en ligne, mais l’an dernier, elle a auto-édité Côté Face, premier « tome » d’un cycle que l’on peut ranger du côté du fantastique.
- (Une toute petite voix dans mon oreillette me dit qu’elle a déjà publié - en format papier - deux autres romans aux éditions Le Manuscrit : Sphingidae trésorus en 2004 et Ham stram gram en 2007).
du Quinze Littéraire à cette jeune auteure ?
Il y a plusieurs mois, Matilda vantait les mérites de Côté Face et semblait connaître assez bien l’auteure de ce titre. Intriguée par l’illustration de couverture et par les louanges de la demoiselle, je n’ai pas hésité une seconde, lorsque le livre a été proposé en partenariat sur Livraddict. Quelques semaines plus tard, les participants à l’opération étaient unanimes : Côté Face est excellent, mais pourquoi ne trouve-t-il pas d’éditeur ?
Aujourd’hui, avec ce deuxième numéro du Quinze Littéraire, j’ai voulu mettre en avant un titre qui m’a plu et qui mérite une plus grande visibilité sur la toile. Je ne suis pas sûre que cette initiative ait beaucoup d’impact, mais sait-on jamais ? Et si, grâce à celle-ci, Côté Face et son auteure Anne Denier, trouvent de nouveaux lecteurs, alors me voilà ravie. Parce que ne l’oubliez pas, un livre n’est rien sans ses lecteurs ; vous pouvez faire évoluer les choses.
- Côté Face, c’est : 446 pages, 49 chapitres (48 si l’on ne compte pas le chapitre 13), les 4 parties de L’Elégie de Marienbad de Goethe et Le Secret du souvenir de Schiller…
- Sur Livraddict, c’est : 35 membres qui l’ont lu (et le possèdent), 28 qui l’ont chroniqué, 109 qui souhaitent le lire et une moyenne de 9/10 (sur 27 notes).
- Sur la toile, c’est : 39 chroniques/critiques publiées (toutes positives sauf une) et 289 personnes sont abonnées à la page Côté Face sur Facebook.
- Elora : « D’ailleurs, on se rapproche beaucoup de la protagoniste qui ressemble tant à une adolescente banale, dans les premières pages. Ses doutes s’insinuent en nous et on éprouve beaucoup d’empathie pour la demoiselle. »
- Matilda : « J'ai donc relu Côte Face je ne sais pour la combientième fois, et j'ai aimé. Beaucoup. J'ai retrouvé mes passages préférés, la tension du récit qui m'a fait me crisper plusieurs fois, la beauté des interchapitres et surtout du poème qui clôture l'histoire. À croire qu'il a été écrit pour l'occasion. »
- Méloë : « En fait, tout m’a énormément plu dans ce roman. Même la plume, qui est bien affirmée; tour à tour drôle, caustique, dérangeante, froide, émouvante. Elle s’adapte aux changements de ton et d’intensité du roman tout en restant cohérente. »
- Niënor : « Pour finir, je voudrais parler de ce qui a fait de ce livre un coup de cœur : l’atmosphère qui en ressort. C’est un livre poignant qu’il est difficile de lâcher une fois la lecture entamée. Le mystère plane du début à la fin ! »
- Paikanne : « Comment un roman d’une telle qualité est-il si peu mis en évidence sur le net alors que d’autres, nettement moins bons, font recette ? Là est la question. »
- Pinly-sweet : « Côté Face mérite amplement son excellente réputation sur la blogosphère. L’intrigue de ce livre est renversante et originale ! C’est aussi un roman très documenté, puisqu’il y a des descriptions très précises des tenues des femmes au XIXe siècle, mais aussi des passages en allemand, et de nombreuses références littéraires et musicales. »
- Poison : « Pour ce qui est du scénario, je suis bluffée. Il est travaillé, tenu de bout en bout, maîtrisé et il y a des rebondissements jusque sur les dernières pages. J'ai adoré. On ne sait pas sur quel pied danser, on est comme l'héroïne, à se demander ce qu'il se passe. Et, petit à petit, les pièces du puzzle se mettent en place, et l'horreur arrive aussi. Vraiment surprenant. »
- Sara : « On finit par se demander d'ailleurs quelle est la vie rêvée et celle réellement vécue ? Où sont le passé et le présent ? Cette ambiguïté n'est pas la seule dans le roman et c'est tout l'intérêt de cette histoire fantastique. »
Côté Face est le premier tome d’une série de quatre textes. Chaque histoire est complète et indépendante. Chaque tome reprend certains évènements sous un angle différent, sous un autre point de vue, avec une héroïne différente :
- Tome 1, Côté Face : l’histoire de Hyla.
- Tome 2, Noces de Lune : le passé de Côme.
- Tome 3 (en cours d‘écriture), Petite Rose : le personnage de Nebel.
- Tome 4 : les personnages de l’Alchimiste et d’Eve.
Anne a ouvert une souscription pour Noces de lune. Vous pouvez dès à présent le commander et le recevrez la semaine précédant la sortie officielle ! Si vous êtes intéressés, toutes les explications sont ici !
Et comme vous avez été sages, voilà en exclusivité, un extrait de Noces de Lune !
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[…]
La porte s’ouvrit doucement. Je posai la tasse, pris nonchalamment mes gants et tâchai de les remettre avec élégance. Cela me procura une contenance. Sa voix me fit frissonner. L’entendre me saluer, l’entendre prononcer mon nom, me plongea loin en arrière. Je levai les yeux vers lui.
« Bonjour », répondis-je simplement.
Je peinais un peu à rester détendue et polie. Il entra, ferma la porte et s’approcha. Je respectai la mascarade du savoir-vivre et lui tendis ma main gantée. Il la prit et s’inclina.
« Il y a si longtemps que nous ne nous étions vus, soupira-t-il.
— Oui, il y a très longtemps. »
Il s’assit face à moi. J’aurais aimé qu’il parte.
« Comment se porte votre époux ? » me demanda-t-il.
Un peu surprise par sa question, je réfléchis un instant et entrai dans son jeu.
« Pas trop mal à ce que j’en sais.
— Est-il à Berlin ?
— Avec une autre femme.
— On dit que c’est sa sœur. »
Je plissai les yeux et contrôlai un mouvement de répulsion.
« Il s’améliore, il fut un temps où il la faisait passer pour sa fille. »
Ma voix était plus agressive qu’elle n’aurait dû.
« On le dit veuf aussi », dit-il.
Il m’emmenait sur une pente glissante. Cherchait-il à provoquer un scandale ? Je pris une inspiration lente et profonde.
« Oh, il y travaille, de temps à autre, il se remarie mais ça lui passe bien vite et le voilà à nouveau veuf.
— Cela ne dure donc jamais ? »
Sa voix était dure. Visiblement, il ne s’était pas attendu à ce que je connaisse les détails.
« Il les préfère douces et naïves, comme le rapace préfère les petits lapins. L’histoire ne finit guère mieux pour l’un ou l’autre, le premier vertige passé, la tragédie est proche. »
Silence. Il s’était crispé. J’en profitai.
« Et votre épouse ? »
À mon tour de jouer.
« Voilà longtemps que je ne l’ai pas vue.
— Comment cela se fait-il ? »
Je le fixai droit dans les yeux. Son regard de glace était tel que je le lui avais toujours connu.
« Elle est partie vivre dans sa parenté depuis de nombreuses années.
— Avez-vous souvent de ses nouvelles ?
— Jamais. Voyez-vous, j’ai appris il y a peu, il y a un instant pour ainsi dire et, par le plus grand des hasards, qu’elle séjournait à Berlin.
— Seule ? »
Il était mal à l’aise. Il ne savait pas.
« Je n’ai même pas reçu un mot ou une lettre, se plaignit-il mollement.
— Vraiment ? »
L’aiguillonner m’amusa un instant.
« Elle ne fait plus grand cas de moi, soupira-t-il, l’air faussement malheureux.
— Cela est triste, raillai-je bien malgré moi.
— Cela n’est triste que si on y pense. Je me contente de ne pas y penser, dit-il d’un air détaché.
— Mon époux et votre épouse semblent être de bien cruels personnages. Peut-être devrions-nous les faire se rencontrer ? »
Il plissa les yeux. Mes moqueries lui déplaisaient.
« Elle n’a rien des petits lapins qu’affectionne tant votre époux. Le cœur de mon épouse est de pierre. »
Il examina ma réaction avec soin.
« Il n’a rien qui puisse retenir une femme comme elle », lançai-je un peu vivement.
Un silence froid suivit ma réplique. Il retenait les paroles cruelles et blessantes qui lui brûlaient les lèvres, je retenais les miennes. Nous étions courtois et civilisés.
La porte s’ouvrit.
Mon rendez-vous.
Le joaillier resta un instant interdit devant nous. Son regard alla de l’un à l’autre, embarrassé. Je le saluai, il me répondit courtoisement tout en gardant les yeux tournés vers cet homme inconnu.
« Je vous présente mon époux. »
Cette phrase que je n’avais pas prononcée depuis tant d’années, de décennies, me blessa. Mon époux, mon mari, mon amant, celui que j’avais aimé.
Échange de politesse suivi de silence, le joaillier semblait gêné de cette présence inattendue. Je dissipai le malaise et le priai de me montrer ce pour quoi j’étais venue. La présence importune de celui que j’avais épousé, il y avait si longtemps, ne changeait rien à l’affaire. Il devait se douter des raisons de ma présence dans un tel lieu.
Le joaillier me présenta un coffret gainé de cuir doré. Il l’ouvrit. Il contenait deux peignes en ivoire, tourmaline multicolore et fil d’argent. Un plat en forme de papillon monté sur de courtes et délicates dents d’ivoire. C’était superbe. Je pris un des peignes dans les mains. Le plat en pierre était lourd, trop lourd pour les fines dents d'ivoire. Je le fis remarquer au joaillier.
« Nous avons respecté scrupuleusement vos dessins », se défendit-il.
Certes, mais ces bijoux ne tiendraient dans aucune coiffure, ils tomberaient au moindre mouvement de tête. Nous discutâmes sur la manière de résoudre le problème, je décidai d’envoyer un nouveau dessin. Du moment que je payais, l’homme était prêt à tout refaire s’il le fallait. Je m’inquiétai du reste de la parure.
« Elle sera prête d’ici huit jours », m’assura-t-il.
Nous échangeâmes quelques banalités. Finalement, je pris congé en promettant de revenir la semaine suivante. Mon époux, qui n’avait pas prononcé d’autres paroles que celles dictées par le savoir-vivre, m’accompagna.
La rue grouillait d’activité. De lourds nuages voilaient le ciel. Il faisait froid.
« Éh bien, mon cher mari, nos routes se séparent à nouveau, annonçai-je.
— Où séjournes-tu ? me demanda-t-il.
— Là où tu ne seras pas.
— Te reverrai-je ?
— Par le plus grand des hasards seulement.
— Accorde-moi une heure.
— Je ne t’accorderai même pas un sourire, répliquai-je vivement.
— Et un regard.
— Juste ces quelques paroles échangées par malchance dans le salon d’un joaillier.
— Clara ! »
Je m’immobilisai mais refusai de le regarder.
« Tu es ma femme ! »
Sa voix était glaciale.
« Côme, c’est fini, tout ça est fini. Adieu ! »
Je m’éloignai, vite, vite pour fuir, vite pour ne pas céder, vite pour ne pas souffrir. Les cœurs de pierre, une fois brisés, ne cicatrisent jamais.
Je l’ai tant aimé.
Pour découvrir un peu qui se cache derrière ce nom d’auteur et ce pseudo, Anne a très gentiment accepté de répondre à 10 questions. Elle garde un peu de mystère sur certains points mais n’hésite pas à parler franchement sur d’autres… Encore merci d’avoir joué le jeu.
1 - Peux-tu nous parler un peu de toi, qu'on puisse apprendre à connaître qui se cache derrière le pseudo Reveanne ?
Non… euh, oui… enfin il n’y a pas grand-chose à savoir. Je suis une femme. J’ai trente-deux ans. J’ai un mari, un chat, une maison, une voiture, un téléphone portable que je n’utilise jamais… Enfin bref, rien d’intéressant. (Je n’aime pas parler de moi.)
2 - Depuis quand écris-tu ? Est-ce un rêve d'enfant ou une passion venue sur le tard ?
J’écris depuis longtemps, j’ai des brides de texte datant de mon adolescence, mais en fait je voulais faire de la bande dessinée. Sauf que j’étais vraiment trop mauvaise en dessin alors je me suis plus concentré sur la rédaction des textes vu que j’écrivais déjà les synopsis de mes BD et que ça, ça fonctionnait pas trop mal.
J’ai publié en ligne ma première histoire en 2001.
3 - As-tu des habitudes lorsque tu rédiges (un lieu de prédilection, une heure particulière, dans le silence ou avec un fond sonore, avec la cafetière à proximité...) ?
Pour écrire je m’installe dans le canapé du salon, l’ordi portable sur les genoux, la TV allumée ou avec de la musique. Je consomme des litres de thé. J’écris surtout la nuit quand je suis « seule au monde ».
4 - Où puises-tu ton inspiration ? Dans les films, dans tes rêves, dans des situations que tu vis au quotidien ?
Je ne puise pas l’inspiration, c’est elle qui me tombe dessus ! Elle me harcèle. Je mène tranquillement ma petite vie et là, paf, une idée, quelques minutes plus tard, paf une autre... Je ne contrôle rien, c’est envahissant. J’ai en moyenne une idée d’histoire par semaine.
5 - Côté Face n'est que le "premier" tome d'une "saga". Savais-tu en commençant sa rédaction, que d'autres suivraient ? Comment travailles-tu en général, as-tu un plan bien précis en tête dès le début (et une idée de la fin avant même de commencer) ou écris-tu au fur et à mesure en laissant les personnages "libres" de leurs mouvements ?
Au début Côté face était une histoire unique, mais au fil de l’écriture j’ai eu d’autres idées et un lecteur lors de la prépublication en ligne m’a demandé quel genre de femme avait pu suffisamment aimer Côme (et lui survivre) pour avoir un enfant avec lui et l’élever… le germe de Noces de lune est entièrement dans cette question.
Les tomes 3 (Petite rose) et 4 (Chanson d’enfant) sont venus au fil de l’écriture de Noces de Lune.
Sinon je construis patiemment et entièrement mes histoires avant l’écriture en elle-même. J’ai le plan, le synopsis, des fiches sur les personnages, sur les lieux, je fais beaucoup de recherche documentaire… bref j’ai horreur de laisser les personnages libres (même si je dois parfois réajuster les synopsis suite à une violente attaque d’inspiration).
Pour les tomes suivants, je suis complètement bloquée par la trame du tome 1, vu que les histoires se passent en même temps et non après, donc j’ai un plan très strict et impossible d’en sortir.
Par ailleurs la structure chronologique très particulière de la saga fait que pour que l’édifice tienne debout il faut savoir très clairement qui fait quoi, où et quand.
6 - Regrettes-tu, en ce début 2012, de t'être lancée dans l'auto-édition ? Si c'était à refaire, recommencerais-tu ? Que conseilles-tu aux jeunes auteurs qui cherchent également à être publiés ?
Il est encore un peu tôt pour faire un bilan de l’auto-édition. C’est sûr j’aurais préféré avoir un vrai éditeur, mais bon personne n’a voulu de mon texte et je voulais tenir mon livre en papier entre mes mains.
Auto-éditer c’est beaucoup de travail, de soucis, d’argent… ça me prend énormément de temps et j’avoue avoir parfois envie de tout envoyer valser et ne plus faire qu’écrire (chose que je finis par ne plus avoir le temps de faire). Mais bon, j’ai commencé alors je vais continuer, par respect pour les quelques lecteurs qui attendent les tomes suivants.
Mon conseil aux jeunes auteurs en quête de publication : Courage !
7 - As-tu d'autres projets de livres que tu envisages de publier ou Côté Face et sa suite seront-ils les seuls ?
J’ai déjà publié deux livres avant Côté face. Si je parviens au bout de la saga Côté face, cela fera 4 livres.
Ensuite je publie la quasi-totalité de ce que j’écris en ligne (soit plus d’une vingtaine de romans) mais j’ignore si j’aurai d’autres envies de publication papier. On verra bien.
8 - En plus d'écrire, es-tu également une grosse lectrice ? Quel titre aurais-tu envie de conseiller à ceux qui liront cette interview et pourquoi ?
Oui, je suis une très grosse lectrice et une acheteuse compulsive de livres aussi. Il y a des livres partout chez moi. Par contre je parle toujours très mal de mes lectures et j’ai des goûts assez changeants alors je préfère ne pas jouer les conseilleuses, je laisse ça à d’autres beaucoup plus doués que moi.
9 - Que penses-tu des blogs littéraires, des blogueurs et de toute cette petite communauté ?
Étant une grosse lectrice, j’aime parcourir les blogs de lecteurs, je découvre des livres, des avis différents.
Par contre en tant qu’auteur-éditeur, je suis agacée par le comportement de certains blogueurs que me contactent pour obtenir des livres gratuits (service presse, partenariat…) Certaines demandes sont très malpolies et agressives, comme si les éditeurs avaient obligation de fournir des livres gratuitement aux blogueurs. Certains m’insultent quand je refuse.
Les services presses/partenariats ont un coût assez élevé, je ne peux distribuer les livres gratuitement. J’ai payé, moi, pour les faire imprimer, ce sont aussi des centaines d’heures de travail…
Dans les demandes de partenariat j’ai eu aussi le blogueur qui contre un livre gratuit promet une longue chronique élogieuse dessus. Du coup, ça discrédite pas mal les bonnes critiques reçues lors de partenariat.
Bref, d’être du côté éditeur des blogs me laisse assez perplexe sur cette communauté, on y trouve le meilleur comme le pire.
10 - Que peut-on te souhaiter pour 2012 ?
De parvenir à boucler Petite Rose (Côté face t3), de trouver un éditeur, de trouver des personnes qui veulent bien payer pour lire Côté face et Noces de lune… bref tout plein de choses.
le 15 janvier dernier (Colette), Anne possède
une très longue chevelure qui en a fait rêver
plus d’une sur Facebook.
Raiponce ou Boucles d’or, on hésite encore…
(Le ou la troisième auteur(e) présenté(e) le mois prochain,
aura-t-il(elle) également une crinière de rêve ?)
- Le site dédié à Côté Face
- La page Facebook de Côté Face
- Pour lire les 100 premières pages de Côté Face et pour écouter les 10 premiers chapitres lus par l’auteure elle-même
- Pour acheter Côté Face directement auprès de l’auteure et sur Lulu.com (la version e-book existe)
- Pour tenter de remporter un exemplaire de Côté Face (l’auteure organise un concours ouvert jusqu’au 22 février)
Certains sites d’ebooks en ligne se permettent de déposer des œuvres entières en ligne, je ne vous apprends rien en vous disant qu’il s’agit de piratage. Pensez aux jeunes auteurs qui ont passé de longs mois de leur vie à rédiger, corriger, relire, travailler et retravailler leur texte, qui mettent tout leur cœur dans leur projet et qui dépensent de grosses sommes pour s’auto-éditer et se faire connaître…
Si Côté Face vous intéresse, faites un bon geste et achetez-le. Ou demandez à un blogueur de vous le prêter / de le faire voyager. Ou demandez-le pour votre anniversaire, votre fête ou Noël… Ou mieux encore, tentez votre chance au concours organisé par l’auteure elle-même… ou celui dont je vais vous parler juste en dessous !
[En revanche, et je pense que vous pouvez le comprendre, Anne n’accepte plus les demandes de SP - Service Presse - et de partenariat. Certains en font la demande, parfois pas très poliment, d’autres exigent carrément… n’oubliez pas qu’auteurs auto-édités et petites maisons d’édition n’ont pas les fonds des grands groupes et que chaque exemplaire offert leur coûte… Merci pour eux !]
Je vous offre cette fois-ci, un exemplaire de Côté Face dédicacé par l’auteure et ce n’est pas tout… il s’agira d’un exemplaire avec la nouvelle illustration de couverture (celle de droite, présentée plus haut, réalisée par la talentueuse illustratrice Miesis !), c’est-à-dire un exemplaire à tirage ultra-limité… Elle est pas belle la vie ?
J'aimerais, si possible, faire gagner des gens que je connais un minimum (qu'on se soit croisés sur nos blogs respectifs, sur Livraddict, Twitter, Facebook ou même dans la "vraie" vie,...), mais si je ne vous connais pas mais que vous êtes vraiment motivés (et que vous me semblez sincères), n'hésitez pas à tenter votre chance ! Le but est de partager et de faire découvrir Côté Face et son auteure à des gens vraiment intéressés. Voilà qui est dit.
Faites de la pub à Côté Face et à son auteure.
Vous avez le choix : faites suivre le lien de ce deuxième numéro du Quinze Littéraire, partagez la page Facebook de Côté Face, postez le lien du site dédié à Côté Face ou de la page du livre sur Bibliomania/Babelio/ou n’importe quelle chronique de blog… Bref, parlez de Côté Face sur internet, peu importe la manière, du moment que vous offrez un peu de publicité.
Plus vous partagerez l’information, plus vous aurez de « chances » pour le tirage au sort.
Par exemple : Vous diffusez le lien de cet article sur Facebook (1 chance), vous le mettez également sur Twitter (+ 1 chance), vous partagez la page Côté Face (+ 1 chance),… vous voilà déjà à 3 !
Une chance supplémentaire est attribuée d’office à ceux qui sont abonnés/s’abonnent à la page Côté Face ou à la page de mon blog sur Facebook. (Je fais éhontément de la pub pour la page de mon blog mais je pars du principe que plus de personnes y seront inscrites, plus les nouveautés du blog, par exemple, ce numéro du Quinze Littéraire - et les suivants - seront visibles par le plus grand nombre et donc plus les jeunes auteurs auront de publicité, plus je pourrai vous proposer de choses sympas… faites marcher le bouche-à-oreille et les réseaux sociaux !)
Faites-moi parvenir la preuve (lien, capture d’écran,…) de votre publicité par email (melisende@hotmail.fr) ou en utilisant le formulaire de contact (le module est dans le menu à gauche). Un minimum de politesse sera grandement apprécié (je ne suis pas une machine).
Le concours est ouvert jusqu’au mercredi 29 février à minuit (soit, exceptionnellement deux semaines au lieu d’une pour pouvoir permettre aux participants non chanceux du concours organisé par l’auteure - qui se termine le mercredi 22 - de tenter une deuxième fois leur chance ici). Je procéderai au tirage au sort (grâce à un logiciel, je pense) le lendemain dans la soirée ou le surlendemain au plus tard et contacterai le gagnant dans la foulée.
parlez de Côté Face autour de vous...