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Les Annales du Disque-Monde,
Tome 3 : La Huitième fille
de Terry PRATCHETT
Editions L'Atalante,
2007, p. 269
Première Publication : 1987
Tome 3 : La Huitième fille
de Terry PRATCHETT
Editions L'Atalante,
2007, p. 269
Première Publication : 1987
Sir Terence David John Pratchett dit
Terry Pratchett est un écrivain britannique,
né le 28 Avril 1948.
Ses fans le surnomment souvent Pterry.
Le Disque-Monde (titre original : Discworld) est un monde imaginaire médiéval fantastique parodique développé à partir de 1983.
Les Autres Tomes des Annales du Disque-Monde :
- Les Annales du Disque-Monde, Tome 1 : La Huitième couleur -
- Les Annales du Disque-Monde, Tome 2 : Le Huitième sortilège -
- Les Annales du Disque-Monde, Tome 4 : Mortimer -
- Le Fabuleux Maurice et ses rongeurs savants -
Terry Pratchett est un écrivain britannique,
né le 28 Avril 1948.
Ses fans le surnomment souvent Pterry.
Le Disque-Monde (titre original : Discworld) est un monde imaginaire médiéval fantastique parodique développé à partir de 1983.
Les Autres Tomes des Annales du Disque-Monde :
- Les Annales du Disque-Monde, Tome 1 : La Huitième couleur -
- Les Annales du Disque-Monde, Tome 2 : Le Huitième sortilège -
- Les Annales du Disque-Monde, Tome 4 : Mortimer -
- Le Fabuleux Maurice et ses rongeurs savants -
Résumé de Quatrième de Couverture :
Sentant venir sa mort prochaine, le mage Tambour Billette organise la transmission de ses pouvoirs, de son bourdon, de son fonds de commerce. Nous sommes sur le Disque-Monde (vous y êtes ? Nous y sommes). La succession s'y effectue de huitième fils en huitième fils. Logique. Ainsi opère le mage. Puis il meurt.
Or, il apparaît que le huitième fils est cette fois... une fille. Stupeur, désarroi, confusion : jamais on n'a vu pareille incongruité.
Trop tard, la transmission s'est accomplie au profit de la petite Eskarina. Elle entame son apprentissage sous la houlette rétive de la sorcière Mémé Ciredutemps...
Or, il apparaît que le huitième fils est cette fois... une fille. Stupeur, désarroi, confusion : jamais on n'a vu pareille incongruité.
Trop tard, la transmission s'est accomplie au profit de la petite Eskarina. Elle entame son apprentissage sous la houlette rétive de la sorcière Mémé Ciredutemps...
Avis personnel :
Après quelques mois d'abandon, j'ai eu envie de revenir au grand cycle de Terry Pratchett. J'avais envie d'une fantasy loufoque et qui me mettrait de bonne humeur. Et comme les deux fois précédentes (avec la lecture des deux premiers tomes), la plume si particulière de l'anglais ne m'a pas déçue.
En effet et pour commencer, j'ai été ravie de me replonger dans ce style et ce genre si particulier qu'est la fantasy burlesque. A chaque page (ou presque), l'auteur nous offre de nombreux jeux de mots, à commencer par exemple par les noms de ses personnages : "Mémé (diminutif d'Esméralda) Ciredutemps", la grand-mère sorcière assez barrée. Par contre, je regrette un peu la forme du texte qui se présente comme un gros bloc sans véritables chapitres, juste aéré par des sauts de lignes et des petits dessins stylisés.
'
Outre les jeux de mots, ce sont les personnages en eux-mêmes qui font de ces Annales, ce qu'elles sont. Stéréotypés à l'extrême et accompagnés de traits d'humour et d'une ironie mordante ; on se retrouve dans ce troisième tome, en compagnie de nouveaux personnages principaux aussi piquants et marquants que ceux des deux tomes précédents. Une vieille sorcière qui porte frusques et chapeau pointu noirs, qui se plaint de ne pas avoir été gâtée par la nature de dents pourries et de verrues, et qui, bien étrangement, a du mal à voyager sur un balai ! Elle est accompagnée d'une petite gamine - la huitième fille - nommée Eskarina, qui, envers et contre tous, veut devenir la première mage femme (car, sur le Disque-Monde, les femmes font de bonnes sorcières et les hommes de bons mages, mais les sorcières-hommes ou les mages-femmes, ça ne se fait pas !). D'autres personnages secondaires viennent pimenter leurs aventures, des personnages eux aussi haut en couleurs : l'apprenti mage boutonneux, allergique aux consonnes, ou encore la sorcière et sa boule de cristal, entourée d'encens et de breloques en tout genre...
De nouveaux personnages entraînent la découverte de nouveaux horizons pour le lecteur, dans ce troisième tome. En effet, l'aventure débute toujours sur le Disque-Monde, dans un univers complètement à part (que l'on pourrait rapprocher du Moyen-Age, au vu de ses coutumes), mais dans une nouvelle ville : "Trou d'Ucques" (encore une fois, on constate le talent de Terry Pratchett pour le jeu de mots !). Les protagonistes ne tardent pas à se diriger vers "Ankh-Morpork", capitale universitaire, que le lecteur avait déjà pu découvrir dans les deux tomes précédents.
Cette lecture a été rafraichissante et divertissante. Cependant, malgré le titre de ce troisième volet qui laisse présager Eskarina comme véritable héroïne, pour moi, la personnalité la plus intéressante et la plus marquante, sans laquelle cette histoire ne serait rien, c'est belle et bien "Mémé Ciredutemps". Cette sorcière pas comme les autres revient dans d'autres tomes des Annales, et il me tarde de la retrouver !
Si vous voulez vous détendre tout en faisant travailler votre cervelle face à certains jeux de mots, le cycle de Terry Pratchett est fait pour vous. Celui-ci se décompose en plusieurs cycles, alors si vous vous intéressez plutôt aux sorcières, pourquoi ne pas vous lancez dans ce tome, troisième dans la logique générale, mais premier concernant les sorcières ! Allez-y, bonne humeur assurée !
En effet et pour commencer, j'ai été ravie de me replonger dans ce style et ce genre si particulier qu'est la fantasy burlesque. A chaque page (ou presque), l'auteur nous offre de nombreux jeux de mots, à commencer par exemple par les noms de ses personnages : "Mémé (diminutif d'Esméralda) Ciredutemps", la grand-mère sorcière assez barrée. Par contre, je regrette un peu la forme du texte qui se présente comme un gros bloc sans véritables chapitres, juste aéré par des sauts de lignes et des petits dessins stylisés.
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Outre les jeux de mots, ce sont les personnages en eux-mêmes qui font de ces Annales, ce qu'elles sont. Stéréotypés à l'extrême et accompagnés de traits d'humour et d'une ironie mordante ; on se retrouve dans ce troisième tome, en compagnie de nouveaux personnages principaux aussi piquants et marquants que ceux des deux tomes précédents. Une vieille sorcière qui porte frusques et chapeau pointu noirs, qui se plaint de ne pas avoir été gâtée par la nature de dents pourries et de verrues, et qui, bien étrangement, a du mal à voyager sur un balai ! Elle est accompagnée d'une petite gamine - la huitième fille - nommée Eskarina, qui, envers et contre tous, veut devenir la première mage femme (car, sur le Disque-Monde, les femmes font de bonnes sorcières et les hommes de bons mages, mais les sorcières-hommes ou les mages-femmes, ça ne se fait pas !). D'autres personnages secondaires viennent pimenter leurs aventures, des personnages eux aussi haut en couleurs : l'apprenti mage boutonneux, allergique aux consonnes, ou encore la sorcière et sa boule de cristal, entourée d'encens et de breloques en tout genre...
De nouveaux personnages entraînent la découverte de nouveaux horizons pour le lecteur, dans ce troisième tome. En effet, l'aventure débute toujours sur le Disque-Monde, dans un univers complètement à part (que l'on pourrait rapprocher du Moyen-Age, au vu de ses coutumes), mais dans une nouvelle ville : "Trou d'Ucques" (encore une fois, on constate le talent de Terry Pratchett pour le jeu de mots !). Les protagonistes ne tardent pas à se diriger vers "Ankh-Morpork", capitale universitaire, que le lecteur avait déjà pu découvrir dans les deux tomes précédents.
Cette lecture a été rafraichissante et divertissante. Cependant, malgré le titre de ce troisième volet qui laisse présager Eskarina comme véritable héroïne, pour moi, la personnalité la plus intéressante et la plus marquante, sans laquelle cette histoire ne serait rien, c'est belle et bien "Mémé Ciredutemps". Cette sorcière pas comme les autres revient dans d'autres tomes des Annales, et il me tarde de la retrouver !
Si vous voulez vous détendre tout en faisant travailler votre cervelle face à certains jeux de mots, le cycle de Terry Pratchett est fait pour vous. Celui-ci se décompose en plusieurs cycles, alors si vous vous intéressez plutôt aux sorcières, pourquoi ne pas vous lancez dans ce tome, troisième dans la logique générale, mais premier concernant les sorcières ! Allez-y, bonne humeur assurée !
Les Petits [ + ] : Jeux de mots et ironie de Terry Pratchett. Apparition d'un nouveau personnage dans le cycle : "Mémé Ciredutemps" ! Autres personnages stéréotypés et loufoques. Se lit très vite et très facilement. Pas vraiment besoin d'avoir lu les deux tomes précédents, puisque celui-ci est le premier du "cycle" des sorcières.
Les Petits [ - ] : Gros bloc de texte, pas de véritables chapitres. Il faut se procurer les quelques 30 autres tomes...